Dieu l’a déclaré |dans son sanctuaire[a] : |« Je triompherai !
Je vais partager Sichem[b]. |Je vais mesurer |au cordeau |le val de Soukkoth[c].
A moi Galaad ! |A moi Manassé[d] !
Ephraïm |est un casque pour ma tête.
Mon sceptre royal, |c’est Juda,
10 et, pour me laver, |Moab[e] me sert de bassine,
sur Edom, je jette |ma sandale[f],
et la Philistie, |pousse des cris de terreur |à cause de moi[g]. »

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Footnotes

  1. 60.8 Autre traduction : dans sa sainteté.
  2. 60.8 L’ancienne capitale d’Israël, au centre du pays. Le conquérant partage le pays conquis entre ses soldats (voir Gn 12.6 ; Jos 8.30-35).
  3. 60.8 La vallée de Soukkoth se trouve à l’est du Jourdain. Le terrain que l’on mesure au cordeau est celui que l’on possède.
  4. 60.9 Galaad et Manassé constituaient la partie la plus orientale du pays.
  5. 60.10 L’orgueilleux Moab (Es 16.6) sert tout juste à l’usage le plus humble : il est un vase d’ablution pour le lavement des pieds (Gn 18.4). L’image est peut-être suggérée par la situation de Moab le long de la rive est de la mer Morte.
  6. 60.10 Lancer sa sandale sur une parcelle de terre est un geste symbolique de prise de possession (Dt 25.9-10 ; Rt 4.7 ; Ps 108.10).
  7. 60.10 Autres traductions : pousse des cris contre moi ; ou : et contre la Philistie, je pousse un cri de victoire.